Seul en scène, Emmanuel Rossfelder porte la guitare classique toujours plus loin. Des incontournables chefs-d’oeuvre des maîtres espagnols du XIXe siècle à la virtuosité torrentielle de Paganini, il parcourt avec fougue et sensibilité les sommets les plus vertigineux du répertoire, entre pyrotechnie et mélancolie, émotion et virtuosité. Et démontre une fois de plus que la guitare classique peut être réellement... électrisante !
Crédit photos : Axel Coeuret.